Bernhard Willhelm ou l'interprète
des désirs engloutis
Mardi 1er mars, alitée je ne peux transiter de la ligne 3
à la 8 pour transcender espace Commines au défilé de Bernhard Willhelm. Bien sûr
ma fragile absence n'a pas empêché
le TRANSIT stylistique du créateur semblant tout droit sorti de nos rêves les plus escarpés.
Des bruits insolites, raisonnant très certainement des
soubassements de Paris, font trembler les fashionistas et baver les épileptiques.
Le TRANSIT est total et violent : TRANSIT de nos rêves perdus, TRANSIT des
couleurs, TRANSIT des matières, TRANSIT des formes. "TRANSIT" c'est
ingurgiter sans s' étouffer.